Les Belges sont de fervents épargnants. Même en période de taux bas, nous restons des épargnants convaincus. Rien de mal à cela, mais nous ne recherchons pas d'alternative. Deux Belges sur trois n'investissent pas. Alors que les investissements peuvent constituer un complément intéressant à votre épargne.
Nous avons en fait un peu peur des investissements. C'est compréhensible, car nous n'en connaissons pas grand-chose. Lors d'un test des connaissances financières organisé par le Tijd, nous avons obtenu un score moyen de 4,6 sur 10. Nous sommes donc busés. Et ce, alors qu'il ne s'agissait pas de théories économiques compliquées, mais de simples affaires d'argent, telles que l'épargne et les assurances. Des sujets que nous devrions maîtriser.
C'est l'heure de l'examen de passage...
Investir n'a du sens que si l'on dispose d'un capital de départ conséquent
Faux. Les possibilités sont nombreuses pour les petits montants. Il existe de nombreuses options pour investir par exemple 1.000 euros.
Une des principales règles pratiques consiste à investir de l'argent dont vous n'avez strictement parlant pas immédiatement besoin. En d’autres mots : vous pouvez vivre sans problème sans cet argent. Ceci réduit l'impact de la perte éventuelle.
Investir, c'est toujours prendre un gros risque
Faux. Vous pouvez fortement limiter le risque des investissements, en fonction de vos besoins et de votre situation financière personnelle. Votre agent bancaire peut vous y aider. Il vous posera quelques questions en vue de déterminer votre profil d'investisseur.
Vous préférez prendre le moins de risques possibles ? Vous êtes alors un investisseur conservateur ou défensif. Vous êtes disposé(e) à prendre des risques limités ? Vous êtes un investisseur neutre. Vous osez prendre davantage de risques ? Vous êtes alors un investisseur dynamique ou même offensif.
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Vous pouvez choisir d’épargner un maximum de 1.020 ou de 1.310 euros par an pour votre pension, et bénéficier d’une déduction fiscale différente. Que devez-vous faire si vous optez pour le montant maximal le plus élevé ? Et quelle est l’option la plus avantageuse : 1.020 ou de 1.310 euros par an ?
Après l'année 2022 pour le moins turbulente, l'année 2023 a été annoncée comme celle d’un retour à la normalité sur les marchés. Une promesse qui s'est jusqu'ici réalisée en grande partie. Les actions ont connu un excellent premier semestre et les obligations, lourdement affectées pendant la crise, ont pu récupérer une partie des pertes essuyées.
Vous êtes plutôt mer ou montagne ? Voiture thermique ou électrique ? La protection de la planète dans tous ses aspects est un sujet qui vous touche, un peu, beaucoup ou pas du tout ? En matière d’investissement durable, votre agent bancaire souhaite connaitre vos préférences, pour que votre portefeuille corresponde le plus possible à votre profil d’investisseur, dans le respect d’une réglementation européenne d’août 2022. Nous avons à votre disposition une brochure à ce sujet, écrite dans un langage clair.
L'inflation a entamé un net recul dans les principales économies. Même si toutes les inquiétudes ne sont pas dissipées, les investisseurs considèrent que le problème de l'inflation est "résolu". Il s'agit peut-être d'une vision trop prospective à long terme, mais pour les mois à venir, cette évaluation est justifiée. Les prix de l'énergie sont en baisse depuis le début 2023 et seront bientôt suivis par la deuxième cause d'inflation de l'année écoulée : les prix des denrées alimentaires.
« J'aimerais bien...mais je n'ai pas le temps ». Ou « Cela ne m'intéresse pas vraiment, c'est trop compliqué et je ne préfère pas me lancer ». Autant d'arguments souvent avancés pour ne pas investir. Typique, n'est-ce pas ? Ces raisons cachent cependant une présomption tacite : investir avec succès nécessite compétences, expertise et connaissances. Mais est-ce le cas ?