Vous connaissez déjà plusieurs types d'indices : l'indice UV, l'indice de santé, l'indice des prix à la consommation, etc. Dans l'univers bancaire, le terme « indice » fait référence à l'indice boursier. Cet indice n'a donc rien à voir avec le soleil ni avec la santé !
De quoi se compose un indice ?
Un indice peut être comparé à un panier de titres. Par « titres », nous entendons notamment des actions et obligations.
Souvent, les pays ont un indice se composant uniquement d'actions nationales. Un indice donne ainsi une idée de l'évolution des cours de ces entreprises. Pour la Bourse de Bruxelles, l'indice est le BEL 20. Il s'agit d'une liste des 20 principales actions belges cotées dont la valeur ne cesse de fluctuer.
En Amérique, le Dow Jones, le Nasdaq et le S&P 500 constituent des indices connus. Le Dow Jones comprend les actions des 30 plus grandes entreprises des États-Unis ; le Nasdaq regroupe des valeurs technologiques négociées sur la bourse du même nom ; quant au S&P 500 (« S&P » en abrégé), il rassemble les 500 plus grandes entreprises américaines, évaluées en fonction de leur capitalisation boursière. Cet indice comprenant plus d'entreprises que le Dow Jones, il donne donc une idée plus générale des développements sur le marché des actions américain.
Les indices à des niveaux records ?
On dirait que les indices augmentent sans cesse, même s'ils connaissent de temps à autre une légère baisse. De nouveaux records sont régulièrement atteints. Les arbres vont-ils pousser jusqu'au ciel ou le sommet sera-t-il atteint un jour ? Peut-être que oui, peut-être que non, mais pour l'évaluer, un indice n'est pas une solution idéale.
Les indices peuvent en effet changer de composition : par définition, les « mauvaises » actions disparaissent (soit elles n'existent plus, soit elles ne satisfont plus aux critères de sélection appliqués par l'indice).
Après tout, un indice n'est rien de plus qu'un chiffre. Mieux vaut examiner les actions sous-jacentes proprement dites et/ou la situation macroéconomique.
Un point de référence pour les fonds
De nombreux fonds choisissent d'évaluer leurs performances sur la base d'un indice (appelé « benchmark »). Il convient ici de faire la distinction entre les fonds de gestion active et les fonds indiciels cotés (« index trackers »).
Dans le cas des fonds de gestion active, le gestionnaire de fonds tente de surpasser les performances du benchmark. En revanche, les fonds indiciels cotés ou ETF (Exchange Traded Funds) sont des fonds qui suivent l'indice boursier sous-jacent le plus précisément possible.
Vous pouvez choisir d’épargner un maximum de 1.020 ou de 1.310 euros par an pour votre pension, et bénéficier d’une déduction fiscale différente. Que devez-vous faire si vous optez pour le montant maximal le plus élevé ? Et quelle est l’option la plus avantageuse : 1.020 ou de 1.310 euros par an ?
Après l'année 2022 pour le moins turbulente, l'année 2023 a été annoncée comme celle d’un retour à la normalité sur les marchés. Une promesse qui s'est jusqu'ici réalisée en grande partie. Les actions ont connu un excellent premier semestre et les obligations, lourdement affectées pendant la crise, ont pu récupérer une partie des pertes essuyées.
Vous êtes plutôt mer ou montagne ? Voiture thermique ou électrique ? La protection de la planète dans tous ses aspects est un sujet qui vous touche, un peu, beaucoup ou pas du tout ? En matière d’investissement durable, votre agent bancaire souhaite connaitre vos préférences, pour que votre portefeuille corresponde le plus possible à votre profil d’investisseur, dans le respect d’une réglementation européenne d’août 2022. Nous avons à votre disposition une brochure à ce sujet, écrite dans un langage clair.
L'inflation a entamé un net recul dans les principales économies. Même si toutes les inquiétudes ne sont pas dissipées, les investisseurs considèrent que le problème de l'inflation est "résolu". Il s'agit peut-être d'une vision trop prospective à long terme, mais pour les mois à venir, cette évaluation est justifiée. Les prix de l'énergie sont en baisse depuis le début 2023 et seront bientôt suivis par la deuxième cause d'inflation de l'année écoulée : les prix des denrées alimentaires.
« J'aimerais bien...mais je n'ai pas le temps ». Ou « Cela ne m'intéresse pas vraiment, c'est trop compliqué et je ne préfère pas me lancer ». Autant d'arguments souvent avancés pour ne pas investir. Typique, n'est-ce pas ? Ces raisons cachent cependant une présomption tacite : investir avec succès nécessite compétences, expertise et connaissances. Mais est-ce le cas ?